Pourquoi j’ai choisi le trading comme défi ? Mes objectifs simples du début

“Le vrai courage est de persévérer dans l’effort.”

Winston Churchill.

A fearless rock climber conquers a steep cliff face in Leonidio, Greece.

Au début, je ne croyais pas au trading. Ça me semblait trop hasardeux — des prix qui bougent dans tous les sens, minute après minute, comme un jeu où on perd plus qu’on gagne. Pourtant, les marchés m’attiraient. J’aimais l’idée d’acheter et de vendre un produit pour en tirer un profit. Mais dans le commerce classique, il y avait trop de contraintes : stocker des marchandises, trouver des clients, gérer la logistique. Tout ça prenait un temps fou. À l’époque, j’étais en poste, enchaînant des journées de travail. Me lancer dans une telle aventure demandait un effort que je n’avais pas. Le trading, lui, semblait différent — une façon d’explorer les marchés sans ces barrières. C’est ce qui m’a poussé à en faire un défi.

Ce défi, je le voyais grand. Je rêvais de liberté : être maître de mon temps, travailler d’où je voulais, et pourquoi pas, viser des revenus importants. L’idée était ambitieuse, mais excitante. Pour tester, j’ai mis en place quelque chose de simple : un petit compte, quelques heures le soir, des vidéos pour comprendre les bases. Mes objectifs étaient clairs et modestes. D’abord, découvrir cette activité — comment elle fonctionnait, ce qu’elle demandait. Ensuite, obtenir des résultats concrets, même petits, pour voir si c’était fait pour moi. Je ne cherchais pas à devenir riche tout de suite, juste à avancer, à comprendre.

Mais la réalité m’a vite appris une leçon : la liberté a un prix. Mes premiers trades étaient un mélange de chance et d’erreurs. Quelques gains m’ont fait espérer, mais les pertes m’ont ramené sur terre. J’ai compris que viser la liberté — de temps, de lieu, d’argent — demandait plus qu’un clic sur “acheter” ou “vendre”. Ça demandait du travail, de la discipline, et surtout un changement de regard. Au fil du temps, mon mindset s’est clarifié. J’ai réalisé que les résultats financiers, ceux que je chassais au début, étaient secondaires. Ce qui comptait vraiment, c’était le processus : apprendre, m’améliorer, construire une approche qui me ressemblait. Ces objectifs-là, bien que plus lents, étaient plus concrets, plus solides.

Aujourd’hui, je vois le trading comme un défi qui ne s’arrête jamais. Si je devais repartir de zéro, voici ce que je dirais à quelqu’un qui commence :

  • Définir pourquoi vous le faites : Pour moi, c’était la liberté. Quel est votre défi ?
  • Tester sans pression : Commencez avec peu, juste pour apprendre, pas pour gagner gros.
  • Viser le processus : Les petites victoires dans votre méthode valent plus que des profits rapides.

Le trading m’a appris que les grands rêves se bâtissent pas à pas. Ça vaut le coup de relever le défi. Et vous, quel défi vous motive ? Partagez vos pensées en commentaire — on peut avancer ensemble !

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